Le message est arrivé quelques heures postérieurement. Il ne contenait pas une foultitude de silhouette. Mais il disait ce qu’il fallait. Pas ce que j’attendais. Ce que je n’arrivais pas à me présenter. Une phrase m’a frappé. Pas violente. Juste exacte. Elle m’a stoppé. Puis elle m’a recentré. Je l’ai https://charliejyipu.dgbloggers.com/36692709/ce-que-l-on-ose-dire-par-écrit-et-pas-à-l-oral