Sous la vaste arrondie translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids croissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, délicatement mouvantes, tels que une vapeur dense qui refusait de répandre. Ces portraits, nées des regrets cachés et non formulés, https://chanceuadfg.vidublog.com/33305003/le-dôme-des-nostalgie