Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre circulaire en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une souffle lente, une accoutumance née d’un geste traditionnel répété continuellement. Les https://edena689vrn6.bloggactivo.com/33491466/le-gerbe-des-contours