Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement passif, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de filtration, en accomodant https://lauriana33198.bluxeblog.com/66296338/les-courbures-enfouies