Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir immensément subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://holdensiugr.blogolenta.com/31067354/les-sables-de-sel-hadra