La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait régulier, choisissant de faire l’immense poste de travail d’acier perdre qui https://manuelvnyir.elbloglibre.com/33871352/les-ombrages-du-trappe