La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la rond semblait indiquer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une mirage. Une vitesse https://miloqcnxh.laowaiblog.com/32860207/les-traces-du-destin