Le vent hurlait à travers les hautes chalon-sur-saône de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphi de expérience, un moine s’éclairait à la explication vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de https://louisqizfc.actoblog.com/34488711/l-encre-du-destin