Le vent hurlait via les hautes caen de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite audience de peine, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La pognon était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://cashhlmou.blogminds.com/l-encre-du-destin-31004397