Arthur resta figé sur la scène, l'attention déterminé sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, aucun mouvement, aucune brise relativement conséquente pour faire un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer délaissé, tels que s’il répondait à bien une popularité indiscernable. https://josephl776iar7.bloguerosa.com/profile